Cancer du sein : risque Alzheimer réduit de 8 %

Etude étonnante publiée par des sud-coréens.

Large cohorte de femmes traitées pour un cancer du sein (70 000) et suivies pendant sept ans (2010 à 2016).

70 % reçurent des radiations, 40 % des chimiothérapies.

A l’issue, on constate une réduction de 8 % du risque de développer la maladie d’Alzheimer dans le groupe des cancéreuses par rapport au groupe contrôle !

Lien : https://www.medicalnewstoday.com/articles/radiotherapy-for-breast-cancer-linked-to-lower-alzheimers-risk

C’est fascinant. Quelle étrange corrélation !

Et pourtant. Quand on sait que la théorie officielle (les fameuses plaques amyloïdes) prend l’eau de toute part (elle reposait sur de nombreuses fraudes)… Alors on voit poindre une certaine logique.

Alzheimer pourrait très bien être le résultat d’une infection chronique… au long cours. Un ou plusieurs micro-organismes pourraient être des facteurs, directs voire indirects.

Bien entendu, des scientifiques (le professeur Rizwan Bashir cité dans l’article) tentent de se raccrocher aux branches et évoquent la possibilité que les rayonnements ionisants aient pu empêcher la formation des plaques amyloïdes ! Ils y tiennent à leurs plaques ! 😉

Pourquoi ne pas aller au plus simple ?

Une femme ayant survécu à un cancer du sein et à des traitements violents bénéficie a priori d’un solide système immunitaire… ce dernier pouvant alors combattre plus efficacement l’apparition de la maladie d’Alzheimer.

Ce ne sont bien sûr que des spéculations, mais on entend de plus en plus distinctement la petite musique entêtante des infections.

Et celle non moins entêtante du système immunitaire qui lui répond.

PS : un point important à ne pas perdre de vue. Ces pathologies lourdes et mal comprises (cancer, Alzheimer) apparaissent avec l’âge.

C’est la première des corrélations.

L’âge n’est pas un événement, pas un instant T… Il s’agit d’un lent processus.

Et le grand âge est lié à un affaiblissement des défenses immunitaires.

Et ce temps long pourrait par définition factoriser des infections chroniques, au long cours. Elles se « réveilleraient », provoquant ensuite une cascade de symptômes.

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